Un p'tit film , please

Je reviens des magasins.
Je suis exténuer , je dois me battre ici et là.
Des contaminés partout.
Au passage, j'ai ramassé une nouvelle arme.
Une épée. Une belle épée , en plus.
J'ai tranchée plusieurs contaminés, depuis.
Mais la mon corps est lourd. Je suis fatiguée.
J'ai envie de me trouver un endroit ou dormir.
Oui , un endroit ou dormir, voilà mon but !
J'entre dans le cinéma.
Un film , ça pourrait être intéressant, qui sait.
Je suis prise d'une tristesse incontrôlable.
Des larmes coulent sur mes joues.
Je ne sais même pas pourquoi je pleures.
Pourquoi je suis triste ?
Je cherche un endroit ou me cacher et me reposer.
Je n'est plus envie de me battre en ce moment.
La cabine de projection ! Quel bonne idée.
Je me met a courir. J'use de mon épée pour me protéger et j'entre en haut, enfin.

Je rentre dans le cinéma. Je regarde les affiches de plus prêt. J'en choisi un au hasard et rentre dans la salle en éspérent que le film pace. par bonheur le film estb en route. Je m'installe dans le fond de la salle mais je remarque que quelque chause cloche . C'était toujours la même scène qui passais en boucle. Je décide de profiter pour dormir un peu vu le film tournait en boucle.

Pendant mon someil je fis des cauchemard. Des monstres essaye de me manger. Je me reveille en poussant un cri de sursaut tellement j'ai eu l'impression que le rêve étais réelle

Je regarde a travers la salle de projection.
En bas ce trouve un garçon , il a l'air humain, comme moi...
Il semble dormir, tant mieux... Je ne suis plus capable de rencontrer des gens.
Ça ne m'a rien apporter de bon , en plus.
Je me cache dans la cabine, il n'y a personne d'autre que moi.
Aucun contaminé, aucun humain , seulement moi.
Je ferme mes yeux et me met en petite boule au sol. Je ramène les jambes contre moi et j'accote ma tête dessus.
Je suis fatiguée. Est-ce que je vais pouvoir dormir?
Il est tard, je crois...

Quelque peut perturber par mon cauchemard je décide de faire le tour du cinéma pour voir si je ne trouverait pas un bon film qui pourrait m'empecher de dormir et surtout pour m'éviter de faire des cauchemard.

Malheureusement toutes les salle étaient comme la premièr a repeter toujourd les même scènes. Je commence a ménerver. Je file en direction de la salle de projection. J'ouvre la porte avec un bon coup de pied dans la porte pour me défouler un peu. Je tombe nez a nez avec une fille un peu bizzard.

"Décidement le chique de tomber sur des filles bizzard ici"

Je ne prit même pas la peine de lui addresser la parole et je fonce directement vèrs la bobine qui projetait le film de la salle ou je suis rentrer en premier pour voir ce qui clochait.

Je sursaute et me lève d'un coup. Je regarde le garçon jouer avec la bobine pour son film.
Je donne un coup d'épée sur la machine qui éclate. Je suis en colère. Je suis VRAIMENT en colère.
Mes yeux brillent d'une lueur plutôt inquiétante, il ne faut pas m'énerver. J'expire un peu d'air, ce n'est pas le temps pour moi de perdre les pédales. La machine maintenant cassé , le garçon ne peut plus rien faire.
J'accote mon dos contre le mur derrière moi , il est dur et froid.

Je me laisse glisser contre celui-ci et puis je passe une mains devant mes yeux. Je serre fermement mon arme de ma main.
Je ne crois pas que nous allons nous battre, mais je préfère être prête , au cas ou.
Je n'enlève pas mes yeux de cet humain. Pourquoi devait-il défoncé la porte ? A cause de lui , mon endroit n'est plus sécuritaire du tout. J'ai envie de l'égorger. Je pourrais allez dans le sous sol, dans l'entrepôt et ou ce trouve la salle des employés. Il ne doit pas y avoir beaucoup de gens là. Je pourrais m'y reposer sans qu'un imbécile vienne défoncer la porte. Je baille , un instant. J'ai froid aussi. J'aurais dût penser a prendre des gilets chauds, quand je suis allez au magasins. Mais non , je n'y est pas pensée.

Je me tourne d'un bloc vèr cette fille que j'avais ignorer en rentrer au moment ou elle détruit ma pelliculle. Je ne pris même pas la peine de dégainer mon arme je sert les poins prêt a frapper même si je me rend compte que face a une épée je n'aurais aucune chance.
Je la regarde s'adosser au mur. J'essaye de repsirer a fond pour me calmer. Je réussi a me calmer un peu mais je rèste sur gardes.

-Pourquoi avoir détruit cette bobine? elle ne ous a rien fait...

Dit-je sur un tont plus menassante n'aurais voulu.

Je pointe la porte par laquelle il est entré. Il est frustré contre moi. Je l'entend dans son ton de voix.

- Tu es qu'un imbécile, ou quoi ? Tu as défoncé la porte ! C'étais mon endroit. J'étais en sécurité , ici. J'aurais pu dormir , me reposer et ici , il n'y avait pas de contaminée pour me sauté dessus. Mais non, toi tu devais venir défoncé MON endroit.

Je fronce les sourcils et serre les dents.

- Tu as détruit une de mes choses, je détruits une des tiennes. Ça s'appelle la loi du retour. Nous sommes quitte, maintenant.

Des contaminés sont maintenant dans la cabine, prêt a nous attaqués. J'utilise ma lame et en tranche plusieurs en deux.

- Tu vois , a cause de toi , je dois me battre, encore.

J'abats mon armes sur un autre humains. J'ai chaud, j'ai froid , j'ai encore chaud. Je suis un peu étourdie, en ce moment.

HS: Tu semble oublier que des contaminées nous attaques et tout. Tu ne peux pas écouter un petit film dans le cinéma pour le simple plaisir. Y'a des gens qui t'attaque tout le temps et tu dois survivre. Si tu ne comprend pas, demande a Kao pour qu'elle t'explique. Mais tout a l'heure , tu n'aurais pas pu dormir dans le cinéma , tu te serais fais attaquer.

Quelques peu exaspérer de sa réponse je cherche a savoir ce qu'elle voulait dire car cela n'avait pas de sens. Au moment ou j'allais lui demander ce qu'elle voulait dire, je remarque un contaminer arriver derrière elle. Je tire une balle a quelques centimètre de la tête de l'inconnu qui alla ce loger entre les deux yeux du contaminer.
Voyant une foule de contaminer arriver et nous encercler je me mit dos a cette inconnu.

-Je ne te connais pas et je n'ai pas confiance en toi mais je crois que si on veut s'en sortir va falloir ce faire confiance du moins pour ce sortir de cette merde. Et puis est ce que je pouvais savoir qu'il y aurait quelqu'un ici moi?

Je me mis a tirer dans le tas pour essayer de me frayer un chemin.

Hs: désoler mais je croyais que les contaminer revenait a la vie que pendant une vague et quand j'ai poster on était pas dimanche (enfin il n'était pas minuit chez moi vive le décalage horaire...)

HS: Non , depuis la première vague , ils sont toujours là.

Je me retrouve dos a l'homme. Il ne me fait pas confiance ? Tant mieux , moi non plus, je ne lui fais pas confiance.
J'utilise ma lame pour trancher le cou de certains des assaillants. Je me trouve horrible. Quoi que... J'ai déjà tué un humain , même.
Je me fraye un chemin vers la porte. Les contaminés ce font de plus en plus rares. Pour l'instant, du moins...

Je passe une main sur mon front, je suis brûlante. Prêt des escaliers, je manques une des marches et tombe lourdement. Je roule dans les escaliers, me protégeant le cou grâce a mes mains. Je fini ma course en bas. Je suis au sol et je n'est pas envie de bougée. Mon corps me fait atrocement mal. Aucun contaminés autour, c'est une bonne chose. Je prend un moment pour me remettre de ma chute. Je suis vraiment une arme défaillante.

Mon épée est tombée prêt de moi. Je tend la main et la reprend. L'autre gars est encore en haut en train d'abattre les deux ou trois contaminés restant. Je me relève de peine et de misère. Il n'y a vraiment qu'a moi que ça arrive. Je repense a mes rencontres plus tôt , mais surtout a l'autre arme. J'aurais aimé poursuivre ma route avec quelqu'un qui était comme moi...Qui ce sentait, comme moi.
Je baisse les yeux , emplie de haine d'avoir refusé.

Hs: ah désoler je ferais attention

Je fini d'achever les dernier vivant si je peut les appeler ainsi... Soulager d'en être sorti vivant je ne remarqua pas tout de suite que l'inconnu était partit jusqu’à que j’entende un gros boume venant des escaliers. Je cour voir ce qui c'était passer et la je voit la jeune fille par terre avec son épée a la main. Je descend l’escalier, je lui tend ma main pour l'aider a ce relever sans trop réfléchir a ce que je fais toujours heureux d'être encor en vie lorsque je me rappelle qu'un peu plus et c'était ma main et pas la bobine qui a failli y passer.

Je suis debout et je lui fait face. Pourquoi me tend t-il la main ?
Il vient détruire mes choses et me tendre la main, pour absolument rien après ?
Je pousse sa main , doucement. Je ne veux pas avoir l'air d'une sauvage, non plus.
Je me recule mais lui fait toujours face. Qui sait ? Il pourrait m'attaquer au dernier moment.
Quand je suis assez loin, je me met a courir et je descend en bas a la salle des employées.
Je regarde la salle, personne. Ils devaient être en haut, dans ceux que j'ai tués.
J'enlève tout ce qui ce trouve sur la table d'un seul coup de bras. Tout tombe au sol.
Je regarde la porte encore ouverte, espérons que personne ne la défonce, celle là

Je m'arrêtais souvent pour me reposer. Mais j'avais toujours chaud. Je me sentais toujours mal. Je vois un cinéma.

En frappant de ma hache les contaminés, j'avance. Je me fais un chemin.

Puis j'entre dans le cinéma. J'entends du bruit. Je m'accroupis derrière une rangée de sièges et écoute leur discution..

Je ferme la porte, en bas, dans la salle des employés.
Enfin , seule...Pourquoi , enfin ? Je suis seule.
Je ne devrais pas me réjouir. Je m'assure que la porte est bien fermé.
Personne ne pourra l'ouvrir. Je monte maintenant sur la table.
Je m'y accroupis, je me met en petite boule.
C'est dur. Ça me fait mal dans les côtes. Je bouge pour être mieux.
Rien a faire...

Je la regarde partir en courant. Je soupir puis je la suis en prenant mon temps. je tape discrètement a sa porte pour ne pas l’effrayer plus qu'elle ne l'ai déjà. Après tout on a bien réussi a faire équipe pour survivre peut être que je pourrais continuer a faire équipe avec elle. Je commence a ne plus supporter la solitude et elle a l'aire seul sa pourrait faire une bonne équipe bien qu'il y ai une chose qui me gène chez elle mais je ne c'est pas ce que c'est...

Doucement, je me lève. Je me dirige vers Shinji.

Je me sens malade. Faible.

Contaminé. Avec mon teint pâle et mon allure maladive.

Il cogne a une porte. Qui est derrière?

Et merde... Pourquoi ?
Je ne peux pas me reposer ? Mes yeux sont petit , je me lève.
Je marche lentement vers la porte. Des contaminés ?
Encore le garçons de tout a l'heure ? J'ouvre lentement la porte.
Je regarde, serrant mon épée d'une main pour être sur.
Deux garçons. Il y a celui de tout a l'heure.
L'autre c'est... Je prend un moment , je le regarde.
C'est bien... Oui , c'est lui.
J'aimerais sourire, mais mon corps de me le permet pas.
J'ai peur de m'enflammer, mon corps au complet.
Je brûle de l'intérieur. Je regarde les deux garçons.

- Je ne sais pas pourquoi vous êtes là , que voulez vous..?

Je pointe Shinji du pouce.

- Je l'ai suivi. Je voulais savoir ce qu'il y avait derrière cette porte. Mais la raison que tu cherches, c'est lui qui la détient..

Je laisse tomber mon bras le long de mon corps, mais garde toujours ma hache en main. Si, comme moi, elle se sent mal maintenant, elle pourrait décider de nous attaquer n'importe quand, non?

Je les regarde tour a tour. Ils n'ont pas tout à fait l'aire d'être dans leurs assiettes. Je remarque alors que Keven avait son arme a la main. Je mis ma main sur la mienne aussi prêt à intervenir.

-Hum... J'étais venu pour voir si vous aviez besoin de rien... Et si tu ne recherchais pas un compagnon de survie mais, je crois bien que non...

Dit-je un peut gêner.

-Content de te revoir sinon Keven.

Dit-je pour essayer de détendre l'atmosphère.

- Moi de même, Shinji.. Mais si tu veux mon avis, ne reste pas près de nous..

Je le regarde. On voyait bien que je me faisais du soucis pour lui.

- Ça peut être dangeureux.. On ne sait jamais..

Je laisse tomber ma hache sur le sol, pour lui dire que si je lui faisais mal, c'était involontaire..

Je regarde les garçons a tour de rôle.
Je regarde mon épée, aussi.
J'ai de la misère a me tenir debout et sa parait.
Je m'accote un peu au rebord et ferme les yeux.
Quelques goûtes de sueur perle sur mon front.
J'ai froid , je suis congelés.
J'aimerais bien ouvrir la bouche pour leurs parlée.
J'en suis incapable. Je me tourne dos a eux.
Avec un peu de force je commence a parler.

- Entrez.... Si vous voulez être en sécurité...

Je rentre dans la salle tout en essayer de rester le plus proche possible de la porte et assez loin d'eux. Je remarque que La jeune fille tremble je lui lance mon manteau.

-Tient ça t'évitera d'avoir froid.

Je me tourne vers Keven :

-Qu'est-ce que tu voulais dire par me méfier de vous ?

- De mon côté, je me sens malade.. Fiévreux, même.. Mais t'inquiète, ça finit toujours par passer.. Simple précaution.

Je ramasse ma hache. On ne sait jamais..

J'entre après Shinji. J'allais donner ma veste a Kitae. Mais Shinji me devance.

Alors, je prends une chaise près de la table, l'apporte dans un coin sombre et m'y installe.

Je me sens mieux dans l'ombre.

Je me sens comme Keven.

Pas comme l'erreur que je suis.

Je donne un coup sur la veste, rapidement.
Un coup qui aurait eut l'air d'un coup de patte de tigre.
Je grogne un peu , même. Je ferme la porte derrière nous.
Je veux être en sécurité. Je me couche sur la table.
Je me roule en boule. Je tremble , mais mon orgueil est trop fort.
Je suis peut-être une arme défaillante , mais je ne suis pas faible.
Je mord ma lèvre, ma tête me fait mal. Je la pose sur la table froide.
Mes yeux reste entre-ouvert. Je serre l'épée.
Je ne sais même plus si je peux faire confiance a qui que ce soit.
Je voudrais juste....

Elle grogne. Et moi, je la regarde.

Quand je l'avais vu la première fois, elle semblait gentille..

Est-ce que j'avais eu tord?

Je me lève et m'avance vers elle.

- Kitae.. Tu es sûre que tout va bien..? Tu as froid, faim?

Mes yeux s'emplissent d'eau.

- J'ai mal, Keven...

J'utilise mon sac a dos comme oreiller.
J'ai peur , ici... J'ai envie d'être ailleurs. Je relève la tête vers Keven.
J'aurais dût rester avec lui depuis le début. Mais encore une fois, je m'en vais.
Je vais être seule. Mais ça me fait moins mal partir que d'être abandonnée.
De toute façon , avec ma défaillance, qui voudrait de moi.
Je regarde les vestes des garçons, j'aurais envie de leurs en volé une.
Mais je ne suis pas comme ça, je suis gentille. Je ne peux pas faire ça.
Je me relève et renifle un peu. Je ramène les bras contre moi.
Ta gueule, kitae , arrête de pleurer.

- Aurevoir... Encore..

J'ouvre la porte devant moi. Je regarde le couloir vide.
Pourquoi je fuis toujours quand je trouve enfin la chance d'être avec quelqu'un.
Je commence a marcher , mais je tombe. Je tombe a répétition.
Je n'est plus aucune force.

HS: hopital :)