Un parc bien vide de vie... Mais si seulement c'était que sa....

J'arrive devant la grille du parc d'attraction. Je me dis que c'est encore plus grand que je ne l'imaginais. J’approche de l'entrée mais je remarque qu'elle est cadenassée et que le mur est bien trop haut pour être escaladé. Je regarde de plus près le cadenas. Je regarde si il peut être forcé a coup de pied. J'essaye sans résultats Je décide de tirer avec mon arme. Une balle aucun résultats. Je tire une deuxième en me disant que si je ne réussi je m'en irais. Je tire une seconde foi et ça marche. La serrure céda, cette fois.

Je pousse la porte et j'entre. Je suis émerveillé par tout ces manèges si différents. Je commence a avancer mais plus j'avance plus je suis mal a l'aise. Je cherche a savoir d'où vient ce malaise jusqu’à que mon ventre me dise que je n'ai rien mangé depuis mon réveil la veille et que j'ai faim. Je cherche une confiserie car je sais qu'il y en a toujours dans les fête foraine. J'approche du stand et la je vois un cadavre. Je commence a comprendre d'où vient mon malaise. J'observe de plus près les attractions et la je remarque qu'ils sont tous jonchés de corps mort eux aussi. A cette découverte macabre, ma faim se dissipa, je décide quand même de me remplir les poche de choses encore comestible pour la suite. Je commence a rebrousser chemin puis je me dis qu'il y aurait peut être des indices sur ce qui c'est passé dans la ville. Je décide de fouiller le parc.

HS : Moment de la première vague ! Bien que tu sois dans un endroit immunisé, les morts se relèvent et te poursuivre... Méfie-toi ! Ils sont plus intelligents qu'il en ont l'air... Ajuste ton RP en conséquence :) Bonne chance !

Je marche, les mains sur les tempes. Je souffre encore. Existe-t-il une solution?

Il me fait souffrir.

- Damné sois-tu!

Criais-je à l'intention du Virus. Ma batte dans les mains, je frappe tout les objets que je croise.

Et puis j’aperçois un homme.

Non. Résiste. Ne le tue pas. Tu meurs d'envie de le tuer.

Mais tu ne le fais pas. Non.

HPR:

C'est mon personnage qui aime tuer, qui a des envies de meurtre. Ça fait partie de sa personalité. Rien a voir avec ses origines. Juste pour pas qu'on me tappe dessus encore.

Je commence a fouiller le parc lorsque je sent que quelque chose d'anormal ce produit. Je décide de prendre un peu de hauteur pour en être certain. Je monte sur le toi des autos tamponneuse, puis je commence a entendre des bruits. Je tant l'oreille pour savoir d'où vient ce bruit et ce que ces. Je distingue de grognement puis je commence a voir que les corps mort commence a bouger comme par magie. Il hume l'aire comme des chiens en chasse. Les plus proche commence a ce rapprocher de moi. Par réflexe je tire sur les premiers venus. Lorsqu'ils comprirent que valait mieux attendre que je descende pour me manger ils arrêtèrent d'essayer de monter sur le toit. Je me mit a réfléchir pour me sortir de ce guêpier lorsque j’entendis une voie. Je me retourne pour voir d’où vient cette voie en espèrent que ce soit Kao ou Kameo mais malheureusement sa n'était ni l'un ni l'autre. il ressemblait fortement a ce qui ce trouvaient en bas sauf qu'il n'avait pas le même comportement. Il avait l'air de s'amuser a tout détruire. Je décide pour le moment de rester en vie tout en le surveillant pour essayer dans savoir un peut plus sur lui.

Je frappe tout.
Aveuglément.
Zombies.
Objets.

Mais je m'approche de cet homme.
Et je grimpe pour le rejoindre.

Je ne le frappe pas.
Mais je me sens toujours malade.

je le regarde avancer ver l'endroit ou je me situe. Je le laisse faire par curiosité. Mais au moment ou il monte je tire une balle a deux centimètres de ses pieds puis je pointe en direction de sa tête pour bien lui faire comprendre de ne pas avance plus sinon c'est dans sa tête que je tire.

-Qui es tu?

La fièvre est passée. Je me suis habillée. Je suis la trace de Keven sans trop comprendre pourquoi. Je ne veux pas être seule.
-C'est pas pour ça que tu le suis Kao, tu le sais...

L'ombre n'est pas là, mais je distingue sa voix veloutée comme si elle était tout près. M'efforçant à ne pas céder à la panique, je décide de l'ignorer. Mais elle poursuit :
-C'est parce qu'il est comme toi...

J'arrive devant les grilles ouvertes et détruites du parc.
-De qui tu parles ?

Quand je me faufile entre les manèges et les stands, j'ai oublié la raison de ma venue ici.

Soudainement, je colle ma main sur le bout de son arme, pour la dévier de mon visage.

Je me sens mieux.

Étais-ce du au contact d'un humain normal?

- Keven. Rosenbach. Keven Rosenbach. Je suis un allié, T'inquiète..

Je le regarde avec méfiance.

-Hum... Keven c'est sa? qu'est ce que tu fait la? parmi ces zombis?

Je baisse mon arme mais je le garde toujours en main prêt a l'utiliser. J'aperçus plus loin une ombre ce faufiler a travers la porte d"entrer mais je ne fît guerre attention a cause de l'homme devant moi.

J'arrive devant deux hommes. L'un me rappelle étrangement quelqu'un, et l'autre, je ne l'ai jamais vu. Je m'approche d'eux et recule en voyant leurs armes. Oh là là... Par réflexe, je porte ma main à mon marteau et le retire de ma ceinture.

Tremblante, je serre ma prise autour du manche. Mes mains sont moites et je fais un effort considérable pour ne pas trembler. Qui sont-ils ?

Je voi quelqun arriver je regarde qui c'est. Je mapperçois que c'est Kao. Enfin je la retrouve mais je ne matarde pas pour réster discuter en la voyant avec son arme a la main et avec Keven en face de moi. Je me met en sorte d'avoir les deux en face de moi pour pouvoir les garder a porter de vu.

- Je les fuis..

Je me retourne vers Kao. Elle est.. Encore plus étrange qu'a la plage.
Elle tien son marteau. Je recule un peu.

- Kao.. Je ne te ferai pas de mal, pas besoin de sortir ton marteau..

Je passe ma main devant ses yeux.

- Héééé.. Kao?

Je regarde Keven surpris.

-Tu la connait toi aussi?

Je regarde tour a tour Kao et Keven un peu hébéter.

-Kao tu te souvien de moi? On c'est rencontrer au quaie.

En voyant que personne n'avait l'air de bouger je décide de baisser mon arme. Quelque chose attira mon regard, une sorte de reflet. Je regarde autour de moi je ne remarque rien lorsque j’entendis un petit clique d'un chien d'arme que l'on arme avant de tirer. Je fis signe au autre de ne pas bouger puis je descendis du manège. A mi chemin j’entends un coups de feu. Je me précipite ver le lieu ou il y a eu le coup de feu. Je vis une femme armer avec un pistolet pointer en direction d'un cadavre. Ne sachant pas si c'était une humaine ou pas bien qu'elle avait tout l'aire d'une humaine car elle était armer je demande en la pointant de mon arme par sécurité:

-Humaine? Ou pas humaine?

Le garçon à la batte de baseball m'adresse la parole. Il m'appelle par mon nom. Mes yeux s'arrondissent encore, mes tremblements s'accentuent, si c'est possible, et mes mains agrippent mon marteau avec la force du monde. Du monde ? Chuuuut, Kao ! Une balle, un mort, le gars qui me rappelle étrangement quelqu'un, qui dit me connaître... Une fille... chaude en criss, humaine, sans aucun doute. Ma tête s'enflamme, le temps de transmettre toutes ces images à ma petite cervelle vide et inutile.

-Qui...

J'avale difficilement ma salive. Le mot DANGER flash dans mon esprit, comme une enseigne lumineuse. Je lève mon marteau devant moi, mais l'ombre arrête mon geste, plus défini que jamais. Un homme, à peine plus vieux que moi, les cheveux noirs, les yeux verts, qui me rappelle... Moi.

-Qui êtes-vous... ?

Je me sens plus seule que jamais.

Je m'approche d'elle et accote ma tête sur son épaule pour chuchoter dans son oreille;

- Je suis.. Je ne sais pas.. Oui, je sais.. Ton ami..

Je lui fais un câlin. C'est rassurant. Même si elle ne semble pas se rappeler de moi.

L'un des mâle s'approche de moi et me serre contre lui. Prise de panique, je m'agite dans tous les sens. Il veut m'étouffer. Me tuer.
Un ami ? Je m'en souviendrais, si j'avais des amis !

L'ombre pose une main rassurante sur mon épaule et je me calme, devenant plus immobile qu'une statut à son contact.
-Non, tu ne t'en souviendrais pas.

Je me contorsionne pour pouvoir regarder mon interlocuteur.
-Pis qu'est-ce que t'en sais, toi ?
-J'en sais plus que toi, en tout cas.

L'homme me lance un sourire sarcastique, arrogant, moqueur. Un sourire que je connais bien. Le mien.

Toujours lovée dans les bras d'un pure inconnu, je prends finalement conscience de l'ampleur de la situation. N'empêche qu'il y a ce brouillard épais qui m'embrouille l'esprit...

Et ces bras familiers qui m'entourent. Agréable.

- Je ne te veux pas de mal, Kao.. Fais-moi confiance. Je suis comme toi..

Je ferme les yeux, ne déserrant pas mon étreinte.

- Comme toi.. En quelques sortes..

Soudain, une folle envie de meurtre.. Une victime si facile.. Mais je me retiens. Kao, C'est comme un peu ma seule famille, nan? Il y a aussi l'autre, Kitae?

Et moi, qu'est-ce que je suis? Je ne sais pas.


Une Erreur.


Une putain d'erreur.

Je ferme les yeux. Mes bras se glissent d'eux même autour de la taille de l'homme. Je le serre contre moi, mon marteau appuyé dans son dos. J'enfouis ma tête dans son torse, prenant une grande respiration.

Son odeur. Délicieuse.

Je ne bouge plus. Je vais éclater en sanglots. Je le sens.

Mais elle, elle n'est pas une erreur.

Ses sentiments sont réglés comme ceux d'un humain normal.

Pas moi.

Elle, elle pourrait pleurer, si elle en avait besoin. Moi, Nada.
N'essayez même pas. Si vous me faites pleurer, c'est que vous venez de me régler.

Je ne bouge pas. Je ne regarde rien de ce qu'il y avait autour de nous.

Seulement Elle et moi..

Je le serre davantage contre moi. Il est là. Il est réel, lui... C'est ça... L'autre il...

Il est aussi vivant que moi...

Alors pourquoi il disparaît comme bon lui semble ? Pourquoi il n'apparaît que lorsque... Lorsque...

Je relève instinctivement la tête pour regarder le mâle. Je laisse glisser mon marteau qui s'écrase au sol dans un bruit sourd. Je m'en rends à peine compte.
Son visage est tout près du mien. Je me hisse sur la pointe des pieds pour mieux l'observer.

Mon regard se voile de larme et je ramene mes mains sur sa poitrine pour serrer le tissu de son chandail entre mes doigts.
-On se connait...

Je ne sais pas moi-même si c'est une questionnou une affirmation.

- On se connait, Kao. Est-ce que tu te rappelles de mon nom, au moins?

J'approche de nouveau ma bouche de son oreille.

Je vais régler une défaillance de son système.

Je chuchote mon nom. '' Keven. ''

Je frissonne en sentant son souffle chaud sur ma peau. Non, je ne me souvens pas de son nom...

Keven.

Je cesse de respirer.

J'attends que mon esprit se fasse attaquer par une série de flash douloureux, que ma mémoire soit assaillie par quelques souvenirs...

Mais rien. Je reprends mon souffle, pour ne pas mourir. Je murmure après un long moment de silence :
-Keven ? Désolé... Non...